Lire,
écrire,
approcher du feu
qui couve silencieusement,
.
princesse d’aube
d’or fin
ou d’enfance,
.
d’épopées
et de doutes
accueillis
simplement…
.
Traduire,
non parce qu’il le faut,
mais parce que les mots
nous y engagent
à l’excès
dans cette région du coeur
qui s’est laissée séduire ainsi
au fil de sa propre
existence…
.
Retranscrire si possible la vie
et ses degrés d’amour,
ses maladresses,
ses désirs,
.
et cette lumière filtrée
à l’aune de nos âmes
qui à la fois baigne
et respecte nos pas…
.
Bernard Perroy
(poème né après avoir écouté Christian Bobin)
*
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