© Bernard Perroy – Sologne, 2018
l’insoupçonné
ne s’arrêtent jamais
au passage des mots…
Je dévale la pente douce
de ce qui passe et parfume mon coeur
de la verte et sobre ivresse du printemps…
© Bernard Perroy – Sologne, 2018
sa poésie – ses collaborations – ses liens…
© Bernard Perroy – Sologne, 2018
Je dévale la pente douce
de ce qui passe et parfume mon coeur
de la verte et sobre ivresse du printemps…
© Bernard Perroy – Sologne, 2018
© Bernard Perroy – avril 2018
à Béatrice Douvre, i.m.,
Comment
se maintenir en paix,
déchiffrer
pour toute beauté,
sur des prés
d’herbe fraîche,
l’âme
en repos et blessure d’Amour,
malgré
tout le chaos du monde ?
Bernard Perroy
(« Sous la saison du vert amour »,
collage de Max Partezana,
Livre Pauvre, coll. Daniel Leuwers, avril 2018)
*
© F&L – Chalonnes-sur-Loire
De la fenêtre en contrebas
ce ne sont plus des champs…
L’eau partout ce matin
établit sa demeure
en des étangs improvisés,
reflets changeants sous le soleil
langé de nuages bleu-gris,
et ce calme nouveau
de barques riveraines du silence…
(extrait de «UN SOIR Où LE SOLEIL D’OCTOBRE…»,
préface Gilles Baudry, éd. Sac-à-Mots)
*
© Bernard Perroy – Le Vieil, Noirmoutier, 2017
à Maria Desmée,
du soleil
au bout des larmes,
quelque-soit
la saison,
quand le printemps
fleurit
du plus profond
de nos entrailles.
*