Bernard Perroy est né à Nantes en 1960. Il a habité en Normandie, dans le sud de la France, dans l’Aveyron, en Éthiopie, en Anjou… et vit actuellement en Sologne. Au cours de sa vie, il s’intéressera à des auteurs très variés (voir Biographie élargie), incapable de se restreindre à un domaine limité… Participation à une première anthologie en 1988…
Ami du poète Gilles Baudry qu’il rencontre en 1994, celui-ci le mène vers Jean-Pierre Lemaire, Hélène Cadou, Serge Wellens et bien d’autres… Il entre en contact également avec des poètes comme Anne Perrier, Gérard Pfister, Alain Suied, Gérard Bocholier, Pierre Dhainaut… Il se penchera sur la poésie d’auteurs chrétiens et sur la littérature du Bassin Méditerranéen…
Bernard Perroy a habité durant sept ans près de Rochefort-sur-Loire, lieu où naquit le “mouvement” du même nom ou “École de Rochefort”… La Loire et l’Océan sont ses milieux d’origine qu’il affectionne particulièrement. Il fit des voyages ou séjours prolongés en dehors de la France (Irlande, Roumanie, Angleterre, Éthiopie, Arménie, Égypte, Israël, Benelux, Italie, Grèce, Espagne, Pologne, Allemagne, Bosnie, Liban…) et en rapporte parfois quelques bribes dans ses poèmes. Le poète aime les rencontres ou les collaborations avec des artistes d’horizons culturels très divers comme les peintres et plasticiens Rachid Koraïchi, Pascale et Serge Nouailhat, Jef Aérosol, Nathalie Billecocq, Hamid Tibouchi, Dominique Hanquart… ou les photographes Dominique Lefevre, Catherine Deher… ou encore la sculptrice Catherine Carré, le pianiste Nicolas Céloro… et collabore à de nombreux « Livres Pauvres » avec des artistes comme Max Partezana, Ghislaine Lejard, Chantal Giraud, Maria Desmée, Hanna Sidorowicz…
**
Bernard Perroy a écrit une douzaine de recueils dont « Je ‘ai d’autre désir » avec des encres de Rachid Koraïchi (éd. Al Manar 2017), « Extraits du large » (La Porte, 2015), « Cahier d’un soir d’été » (La Porte, 2013), « La nuit comme le jour », préface G. Pfister (Le Nouvel Athanor, 2012), « Une joie tremblante », préface de J.P. Lemaire (Ad Solem, 2012), « Sur la plus haute branche » (Sac à Mots, déc 2012), « Petit livre d’impatience« , préface de Pierre Dhainaut (Le Petit Pavé, 2011), « Si nous savions vraiment… » (La Porte, 2011), « Une gorgée d’azur » avec 49 encres de R. Koraïchi (Al Manar, 2011), « Cœur à cœur » avec 49 encres de R. Koraïchi (Al Manar, 2006), « Un soir où le soleil d’octobre… », préface de Gilles Baudry (Sac à Mots, 2005)…
Présent en revues (Arpa, Friches, Diérèse, Les Cahiers du Sens, 7 à dire, Laudes, Hors Jeu, Les Amis de Thalie, Le Coin de table, Pages insulaires, Cahiers de la rue Ventura…) et dans une dizaine d’anthologies dont « Ouvrir le XXIème siècle » (Moebius/Cahiers du Sens, 2013), « Visages de Poésie » (Rafaël de Surtis, 2011), « L’année poétique 2008 » (Seghers)… ; il a collaboré à « Jean Mambrino, poète de la lumière » (Cahiers Bleus, 2005).
Poèmes, recensions, présentations de Bernard Perroy apparaissent dans différents blogs : « Texture » (revue en ligne) de Michel Baglin, « Recours au Poème » (revue en ligne) de Matthieu Baumier, « Poezibao » de Florence Trocmé, « La Pierre et l’oiseau » des Amis de N. Dieterlé, « L’oiseau de feu de Garlaban » de Jean-Luc Pouliquen, « Lucarne ovale » de N. Billecocq, éditions « Soc et Foc« , « Emmila Gitana« , « Arbreetlettres », « Noir et Blanc en couleurs », les blogs de Jacques Basse, Jean Lavoué, Guislaine Lejard et bien d’autres…
*
(pour en savoir +, voir la « Biographie élargie » et la « Bibliographie« )
Coucou Bernard,
je suis à Nantes et je viens juste de parcourir ton blog; bravo!!
Bonne présentation.Je suis surprise par ton talent pour concevoir un blog.J’espère que tu vas bien et que tu as pris tes repères à Nouan. Je t’appelle ce soir au tél. Je te remercie beaucoup pour la croix et le miel d’Arménie.Je t’embrasse.
Anne
Bravo pour ce site magnifique ! Très heureuse de voir combien tu continues à développer tes talents artistiques ! Continue !!! Joie de te retrouver sur ce blog ! Bonne fin d’année, je t’embrasse.
Anne-Myriam
Très beau blog ! Merci pour ce mariage entre les images et les mots : les « visuels » peuvent s’y retrouver, mais au-delà, c’est l’harmonie entre ce travail en solitaire et la rencontre avec les autres qui transparaît : que ce travail nous rapproche davantage de l’Autre ! Qu’il alimente notre désir du Beau… Merci et bonne continuation,
ALM
Bonjour Bernard,
Bien que nous échangions depuis quelques temps sur un autre réseau social, je n’aurais probablement poussé la porte de ce bel endroit si je n’avais été questionné par un poète blogueur que j’avais interrogé à votre propos (1).
Je prendrai le temps de cheminer paisiblement dans votre jardin fleuri où les graines poétiques poussent à merveille et où il fait bon se rafraîchir à des fontaines régénérescentes.
Belles inspirations harmonieuses.
Catherine
(1) https://borissentenac.wordpress.com/
Un grand merci à vous !