Archive pour la Catégorie 'FENêTRES SONORES'

poème à Rochefort… de Michel Baglin

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Ce qui s’achève… (Colette Gibelin)

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Petite improvisation sur la lumière…

 

Bernard PERROY

improvise au piano sur quatre accords…

improvise en paroles…

pour chanter la lumière…

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© photos B. PERROY – Sologne

dommage, cela s’échève brutalement sur… « le feu…

de mon coeur » !

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Petite promenade dans « Une Gorgée d’Azur »…

à travers les textes de Bernard PERROY (lus par l’auteur) et les encres de Rachid KORAÏCHI

« Une gorgée d’azur », éditions Al Manar

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L’embellie…

 

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LIVRE PAUVRE (coll. D. Leuwers 2015),

poème B. PERROY / aquarelle JN. BACHES

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La pauvreté me dévisage…

 

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expo Synergy© pochoirs Jef Aérosol &  Lee Jeffries

La pauvreté me dévisage
et je ne sais pas
si elle vient de moi
ou de cet homme
assis sur le trottoir,

tandis que sa voix
et la mienne se perdent
dans la rue qui bourdonne
comme pour mieux nous faire saisir
ce silence d’empathie
qui bourgeonne de nos deux coeurs.

Bernard PERROY

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Poverty stares at me
and I don’t know
if it comes from me
or that man / sitting on the sidewalk,

while his voice
and mine are lost
in the buzzing street
as if to better seize us
this silence of empathy
budding of our two hearts.

Bernard Perroy
                                         (traduction d’Elis Podnar)

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La pobreza me mira fijamente
Y no sé
Si viene de mí
O de este hombre
Sentado en la acera,
Mientras que su voz
Y la mía se pierden
En la calle que tararea
Como para mejor hacernos comprender
Este silencio de empatía
Que florece de nuestros dos corazones.
*
Me mira fijamente a la pobreza
Y yo no sé
Si se trata de mí
O ese hombre / sentado en la acera,
Mientras que su voz
Y el mío están perdidos
En la calle zumbando
Como si fuera a mejor apoderarse de nosotros
Este silencio de empatía
De nuestros dos corazones en ciernes.
Bernard sabadell
…………………………………………(traducción de Vladimir Rivoira)

 

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© enregistrement et poème de B. Perroy

Charles Juliet tout simplement…

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La promesse des mots… (Heather Dollohau)

 

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                                                       à la mémoire de Heather Dohollau,

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Ce lieu

dans lequel tu m’invites

parmi les arbres

et leur bruissements d’ailes,

le friselis des feuilles

agitées par le vent,

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est-il toujours

en mouvement,

lumière d’avril

voguant de pierre en pierre

dans les méandres du torrent ?

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Ce lieu dont j’aime le chant

s’immiscerait-il sans écart

dans l’alcôve tremblante

de mon sanctuaire intérieur ?

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Est-ce jeu de miroir

ou bien sèmes-tu ta lumière

à profusion dans l’entre-deux,

entre regard et paysage,

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là où la vie

se promène à présent,

sous le ciel bleu

criblé de mouettes,

entre mémoire et avenir ?

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                                        Bernard Perroy

Manèges…

 

poème écrit après avoir écouté :

Cinq miniatures naïves  pour piano de François Riu-Barotte

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Nous marchions dans Paris
parmi ses fourrés citadins aux multiples accords
de trains et d’herbe,
d’aromates doux-amers,
d’obscurités, d’éclairs,
de nuages entraperçus dans le miroir des vitrines…

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Du haut de mes dix ans,
je buvais littéralement des yeux
tous ces visages, ces paysages,
tandis que mon frère plus vieux
se tenait à distance « de sage »,
pourvu qu’il recomposât dans son cœur
le visage de sa bien-aimée…

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Alors les pas de mon père
savaient à la fois nous porter et nous rendre
 à la beauté des cœurs dispersés au cœur de la cité…

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Je n’oublierai jamais cette escapade à trois
d’où nous avions ramené,
pour les regards émerveillés de ma mère,
une petite boîte à musique qui nous aidait,
chaque fois que nous tournions la manivelle,
à supporter tous les manèges de la vie…

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Bernard Perroy

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Les étincelles… de François Cassingena-Trevedy

 

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(moine de Ligugé, poète)

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Les trois tomes de ses « Etincelles » nous enchantent par leurs aphorismes.

Ceux-ci rendent comptent des heures du jour et de la nuit, des saisons de l’âme, des paysages intérieurs et extérieurs. Ils sont écrits par « touches » tout au long de l’année liturgique, et de proche en proche nous éclairent…

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